I’m not altogether satisfied with this image (still finding my feet with watercolour), although I like the composition. There too, though, I’m annoyed by an inconsistency in the shadows: Why doesn’t Rimbaud’s body cast a shadow on the floor along with the shadow of the battlements?
The poem is perhaps my absolute favourite of Rimbaud’s. I won’t even bother trying to translate it, though; its beauty is all in its musicality, the way it seems to spiral gracefully into the ether like the smoke from one of Rimbaud’s clay pipe:
Chanson de la plus haute tour
Oisive jeunesse
À tout asservie,
Par délicatesse
J’ai perdu ma vie.
Ah! que le temps vienne
Où les cœurs s’éprennent.
Je me suis dit : laisse,
Et qu’on ne te voie :
Et sans la promesse
De plus hautes joies.
Que rien ne t’arrête
Auguste retraite.
J’ai tant fait patience
Qu’à jamais j’oublie;
Craintes et souffrances
Aux cieux sont parties.
Et la soif malsaine
Obscurcit mes veines.
Ainsi la Prairie
À l’oubli livrée,
Grandie, et fleurie
D’encens et d’ivraies,
Au bourdon farouche
De cent sales mouches.
Ah! Mille veuvages
De la si pauvre âme
Qui n’a que l’image
De la Notre-Dame!
Est-ce que l’on prie
La Vierge Marie ?
Oisive jeunesse
À tout asservie,
Par délicatesse
J’ai perdu ma vie.
Ah! que le temps vienne
Où les cœurs s’éprennent.
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